
Elle avait 27 ans lorsque l’idée et le courage lui est venu de créer, à partir de rien, une école du weekend en quelque sorte, où les jeunes des quartiers défavorisés pourraient venir s’instruire et s’émanciper tout en s’amusant.
Elle, c’est Sofie Foets, et aujourd’hui, près de dix ans après la création de TADA, j’ai eu le plaisir de la rencontrer pour ce 3e épisode de Positive Changemakers.
Sa richesse ou son talent réside clairement dans sa capacité à s’inspirer de réalités diverses, tant de milieux plus privilégiés que plus précaires, pour – au final – relier le meilleur des deux mondes et créer ainsi – à son échelle – un impact positif pour la société.
Avec TADA, le pari est en tout cas déjà plus que réussi.
Alors, vous êtes prêts à vous laisser inspirer par son histoire ? Andiamo !
